De nouvelles informations éclairent la situation concernant Chadia, la fillette de 2 ans dont la prétendue disparition a récemment suscité une vive émotion sur les réseaux sociaux. Selon un proche de la famille, c’est en réalité le grand frère de Chadia qui aurait à plusieurs reprises fugué pour tenter de retourner chez ses parents biologiques. Ces fugues répétées auraient conduit l’Aide Sociale à l’Enfance (ASE) à éloigner les deux enfants, y compris Chadia, dans ce qui semble être une mesure de protection visant à prévenir de nouveaux incidents.
Une communication inexacte de la famille
Malheureusement, la famille a choisi de communiquer sur la disparition présumée de Chadia, bien qu’il n’y ait jamais eu d’indication qu’elle avait “disparu”. Cette confusion a contribué à la propagation d’une fausse alerte sur les réseaux sociaux, détournant l’attention des véritables enjeux : le désir du grand frère de retourner à la maison, exprimé par ses fugues, et l’incompréhension des parents face aux mesures de l’ASE.
Ce type de communication, probablement motivé par le désespoir des parents, est contre-productif. En relayant une fausse information, ils aggravent leur propre situation et compromettent leur relation avec les institutions, au lieu de mettre en avant la souffrance de leurs enfants et leurs propres difficultés à accepter ou comprendre les décisions prises.
Un débat légitime sur les motifs et la nécessité du placement
Les fugues du grand frère traduisent un mal-être évident. Elles posent la question de l’adéquation du placement initial et de la manière dont ces décisions sont évaluées. La question essentielle est : le placement était-il vraiment dans l’intérêt supérieur des enfants ?
Dans le cadre de la réforme de l’ASE que nous proposons, nous souhaitons garantir que chaque décision de placement soit prise en tenant compte des besoins spécifiques de l’enfant, de son ressenti, et de l’accompagnement nécessaire pour la famille.
Ce que propose la réforme de l’ASE
Pour éviter de telles situations et accompagner les familles de manière plus efficace, notre réforme prévoit :
1. Une meilleure évaluation des placements :
• Évaluer de manière approfondie les impacts du placement sur l’enfant, en particulier dans des cas où des signes de mal-être, comme des fugues, se manifestent.
• Prioriser des solutions alternatives, comme le renforcement des liens familiaux, plutôt qu’un éloignement systématique, lorsque cela est possible.
2. Un accompagnement renforcé des familles :
• Mettre en place des médiateurs pour expliquer aux parents les raisons des décisions prises, tout en leur offrant un espace pour exprimer leurs incompréhensions et inquiétudes.
• Aider les familles à mieux communiquer sur leurs situations, en évitant les discours erronés ou alarmistes.
3. Une communication institutionnelle proactive :
• Développer des outils pour dialoguer directement avec les familles et leur expliquer les objectifs des mesures, afin d’éviter que ces dernières se sentent exclues ou stigmatisées.
• Sensibiliser les familles aux risques liés à la désinformation sur les réseaux sociaux et les encourager à aborder les situations de manière constructive.
Conclusion : Mettre l’intérêt de l’enfant au centre des décisions
L’histoire de Chadia et de son frère montre à quel point il est crucial d’agir avec transparence et humanité dans les affaires de protection de l’enfance. Les institutions doivent évaluer les situations avec soin et accompagner les familles pour éviter de tels malentendus. Les familles, de leur côté, doivent privilégier une communication basée sur les faits et le dialogue.
La réforme de l’ASE vise à répondre à ces défis en renforçant la confiance entre les institutions et les familles, tout en mettant l’intérêt supérieur de l’enfant au cœur de chaque décision.

Bonjour, effectivement, il y a des problème déjà les enfants sont séparés ce qui est traumatisants. Si le grand fugue pour retourner chez lui c’est qu’il s’y trouve mieux probablement. Vous créez du désespoir, ce n’est pas une bonne façon d’agir si les enfants ne sont pas battus ou victimes d’incestes. Alors que le cas d’une femme ou il y avait la preuve filmée l’affaire a été classée sans suite et visite autorisée non médiatisée et la mère obligée de se sauver. Il y a trop de cas litigieux. Les enfants ne sont pas des barêmes mais des êtres humains et toute situation doit être évaluée par plusieurs personnes.
Effectivement on voit de plus en plus, sur les reseaux sociaux des parents qui démontrent la maltraitance de leurs enfants placés, image et preuves à l’appui, des mamans qui perdent tout contact avec leurs enfants placés chez un papa incestueux et jamais inquiétés par la justice. Ces cas sont de plus en plus nombreux. Enfin il y a les adultes qui témoignent de leurs placements abusifs et de leurs maltraitances quand ils étaient enfants.
JE TROUVE TRES CHOQUANT QU ON AIDE PAS DE BONS PARENTS SOUS PRETEXTE QU ILS N’ONT PAS LES PAPIERS OU MANQUENT D ARGENT,ILS FINISSENT PAR SE PENDRE COMME CE COUPLE DE DEUX PETITES FILLES QUI GRACE A L ’ASE ET SON INCOMPÉTENCE CRIMINELLE A FAIT D ’ELLES APRES PLUSIEURS ANNÉES D ’INHUMANITÉ ET DE HARCELLEMENT PARENTALE POUR RIEN DUTOUT,DES ORPHELINES POUR TOUJOURS..,
IL FAUT TOUT DE MÊME NE PAS OUBLIER QUE LES RÉGIONS SONT EN GRANDE DIFFICULTÉ CAR IL Y A DE SOMBRES COUPES GOUVERNEMENTALES DANS LEUR BUDGET,ET QUE TOUS CES ARRACHEMENT D’ENFANTS TRES NOMBREUX BIZARREMENT ACTUELLEMENT,,,( EN SOUFFRANCE SOIT DISANT QUI SE RETROUVENT SEULS ET DEPRESSIFS,COUPÉS MÉME DE LEURS FRERES ET SOEURS AU SEIN MÊME DE L ASE.,!!)
POUR FINIR JE RAPPELLE QUE LORSQUE VOUS ÊTES UN JUGE QUI VENDEZ VOTRE FILLE DE 12 ANS SUR INTERNET A DES PÉDOPHILES ,ON VOUS LAISSE VOS TROIS ENFANTS ET VOS FONCTIONS,,EN FRANCE….!!!!!!.MAIS SI IL VOUS MANQUE DE L ARGENT POUR FINUR LE MOIS,L’ASSISTANTE SOCIALE VA TRISTEMENT S ’OCCUPPER DE VOS ENFANTS EN VOUS LES PRENANT,,.TRISTE MONDE,,.ET PERSONNE POUR
TRADUIRE LES RESPONSABLES DEVANT LES TRIBUNAUX..C’EST LA JUNGLE…ET CES ADULTES DE DEMAIN GRANDIRONT LA RAGE AU VENTRE…SANS DIPLÔME NI ETUDE ’SANS AVOIR RECU L ’AMOUR DE LEUR FAMILLE….DIRE QUE L ’ASE ENVOIE LES ENFANTS EN AFRIQUE FAÇON BIZNESS..TELLEMENT ILS EN VOLENT!!! CA NE SUIT PLUS EN FRANCE…!!!!.MAIS QUELLE HORREUR…